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6 mois avec mon Fitbit

Freelance, mon sédentarisme peut vite prendre le pas sur mes bonnes résolutions. Pour Noël, Alex a eu l’excellente idée de m’offrir un Fitbit Charge.

Voilà près de trois ans que j’ai décidé de me reprendre en main. Les mois défilent et ce n’est pas toujours évident de conserver sa motivation. Après six mois d’utilisation, il est temps de faire un petit bilan sur ce coach électronique.

Le Fitbit Charge

Ma toute première crainte en voyant ce Fitbit était que je fasse une énième allergie. Avec son bracelet en caoutchouc et son fermoir en acier chirurgical, heureusement pas la moindre plaque qui me démange à l’horizon. La prise en main est super simple et je suis contente de ne plus devoir checker mon téléphone pour savoir l’heure qu’il est. Le design est sobre et sa couleur noire va avec toutes mes tenues. Je n’ai pas rencontré de difficulté pour le mettre ou l’enlever et il ne s’est jamais barré de mon poignet. En dehors des douches et des grosses séances de ménage, je ne l’enlève pas. Pour l’anecdote, je l’ai même gardé le jour de mon mariage. Côté autonomie, je dois le recharger tous les 5 jours environ ce qui est un gros progrès comparé à la montre Géonaute que nous utilisions pour nos randonnées.

Un allié pour ma santé

Bien mieux qu’un simple podomètre, il flique en permanence ma fainéantise. Il me pousse à me lever de ma chaise durant mes journées de travail et la petite vibration qu’il émet lorsque j’atteins mon objectif sonne toujours comme une petite victoire. L’aspect social du Fitbit est d’ailleurs un bon moteur pour se dépasser. Grâce à l’ajout d’amis que l’on peut défier via l’application/interface web, je ne compte plus les fois où j’ai marché comme une débilos dans le salon pour faire mes 10 000 pas/jour ou pour récupérer un joli badge 😆

L’application Fitbit

Je ne vais quasiment pas sur l’interface Web, lui préférant l’application Android que j’ai téléchargé gratuitement. Le Fitbit ne se borne pas à mesurer le nombre de pas effectué, la distance parcourue et les étages que l’on a pu gravir. Il permet aussi de surveiller la qualité de son sommeil (cela m’a confirmé que je dors très mal), sa consommation d’eau (très pratique pour ceux qui oublient de boire dans la journée), ainsi que sa ligne par le biais d’un journal alimentaire.

Le premier mois, je notais scrupuleusement tout ce que je mangeais. Aujourd’hui, j’ai complètement lâché l’affaire. Même si l’appli est hyper bien faite, avec la possibilité de scanner directement les codes-barres des produits ou d’entrer des aliments non répertoriés, j’avoue que ce genre de routine me gonfle. J’ai beau savoir que c’est un excellent moyen d’éviter de faire trop d’écart, j’ai vraiment du mal à être assidue.

Autres fonctions que je n’utilise pas vraiment : l’alarme silencieuse qui permet de se réveiller grâce à une vibration du Fitbit et les notifications d’appel qui permettent de ne rater aucun appel lorsque le portable est au fond de son sac. En revanche, je suis assez fan de la fonction GPS de l’appli qui permet de calculer en temps réel la vitesse, la durée, la distance parcourue et d’avoir le tracé de son activité. Il faut avoir son portable sur soi mais qui ne l’a pas de nos jours…

Bon, il y a quelques petites choses à revoir. Notamment, son câble USB propriétaire dont le fil est bien trop court ou encore l’impossibilité de l’emmener à la piscine. Sachant que j’adore nager cela m’embête un chouia. J’aurai également aimé avoir accès à la jauge de la batterie directement sur l’appareil et non en devant me connecter à l’appli. Mais globalement, je suis très satisfaite de ce nouveau partenaire santé qui m’encourage à me remuer le popotin 😆

Voilou ! J’espère que ce petit retour d’expérience sur le bracelet connecté Fitbit Charge t’aura plu. Si tu as des questions, n’hésite pas !


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