Un village dans les Ardennes est frappé par un mystérieux fléau. La chasse à l’hiver, coutume populaire consistant à brûler un épouvantail à l’orée du printemps, a mal fonctionné : le bûcher n’a pas pris. Peut-être est-ce pour cela que les graines ne poussent plus dans les champs, que les animaux tombent malades, que la disette s’installe peu à peu…
Présenté en septembre dernier à la Mostra de Venise, «La cinquième saison» de Jessica Woodworth et Peter Brosens fait également partie de la compétition de cette 4e édition du Festival du Cinéma Européen des Arcs.
Après «Khadak» en Mongolie et «Altiplano» au Pérou, nos deux cinéastes continuent d’appliquer leurs idées sur leur lieu de vie et achèvent ainsi leur trilogie en Belgique.
Nous voici ainsi transporté dans un village au cœur des Ardennes vivant exclusivement de ses récoltes et de son agriculture. Lorsque la terre devient infertile, nos villageois se retrouvent bientôt désœuvrés et peinent à se nourrir. Désemparés face à cette situation alarmante et à la recherche de responsables, ils abattent leur courroux sur un apiculteur itinérant et son fils handicapé.
Dotée d’une mise en scène très étudiée, cette allégorie écologique met en exergue la noirceur de l’âme humaine en mêlant astucieusement d’anciennes croyances paysannes et peurs contemporaines.
Dans cette tragédie humaine presque silencieuse, la forme prend malheureusement le pas sur le fond et nous avons droit à une succession de tableaux surréalistes que de pseudo-artistes sous acides n’auraient pas reniés. Entre perplexité et ennui, ce conte apocalyptique dans lequel on retrouve notamment Sam Louwick (“Ex-Drummer”, “Bullhead”) ne laisse certes pas indifférent mais ne passionne pas des masses.
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Che8re madame,Merci pour votre piipicrtataon e0 notre blog et votre inte9reat dans notre festival !Sachez, pour re9pondre e0 vos questions, que nous faisons tout notre possible pour communiquer, e0 la fois en local, en Rhf4ne-Alpes, en national et meame e0 l’e9tranger. Nous avons par exemple de9je0 fait des campagnes de distribution de flyers e0 Lyon, pose9 de nombreuses affiches sur Lyon, Grenoble, Annecy, Chambery et bien sur la Tarentaise, fait une campagne d’affichage dans toutes les gares lyonnaises, mis des banderoles e0 Bourg-Saint-Maurice et Les Arcs, et noue9 de nombreux partenariats avec la presse. Notre plan me9dia vient de commencer, nous avons notamment mis une page de publicite9 + flyer dans StudioCine9live, nous avons une parution dans l’agenda de Te9le9rama de cette semaine, allons avoir des publicite9s sur France Inter, France Bleu, Cine9 Cine9ma, France 3 Alpes, une cinquantaine de cine9mas inde9pendant en France et les 33 salles UGC de Lyon passeront la bande annonce du festival Vous trouverez la liste de tous nos partenaires ici :Maintenant, nos efforts de communication sont e0 la hauteur de nos moyens et sont en cours de diffusion. Nous sommes conscient que nous ne pouvons pas toucher tout le monde et portons nos efforts sur nos cibles principales qui sont les cine9philes, les skieurs, les professionnels du cine9ma, la population locale et re9gionale.Concernant le cafouillage de l’ouverture, c’est en effet e0 mettre sur le compte de notre jeunesse Nous n’avions pas imagine9 un tel succe8s de8s la premie8re se9ance ! Nous ouvrirons cette anne9e les portes du Centre Bernard Taillefer de8s 14h pour que chacun puisse retirer son pass dans la se9re9nite9.J’espe8re avoir re9pondu e0 vos remarques, et gardez e0 l’esprit que ce n’est que la seconde e9dition du festival, il faut lui laisser le temps de s’installer dans l’esprit des gens et de la presse. Nous comptons e9galement sur les personnes comme vous pour le bouche e0 oreille, c’est tre8s important !Au plaisir de vous retrouver le 11 de9cembre !L’e9quipe du festival