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Cinéma | Mesrine, l’ennemi public numero 1

Après “Assaut sur le central 13”, le remake d’un film de John Carpenter tourné aux États-Unis, Jean-François Richet s’attaque à l’histoire du criminel français Jacques Mesrine. Un biopic de 4H03 qu’il a décidé de sortir en deux parties et ce à quelques semaines d’intervalle.

Le réalisateur a pris le parti de nous montrer un Mesrine qui inspire la sympathie et on oublie presque quelques scènes où ce dernier est bien loin de ce gentleman cambrioleur que l’on nous montre le reste du temps. Je pense notamment à celle où il met un pistolet dans la bouche de sa femme devant ses enfants ou encore celle où il passe à tabac ce journaliste sans défense.

Vincent Cassel excelle particulièrement dans ce rôle complexe qui passe d’une émotion extrême à l’autre. A la fois, plein de hargne, inquiétant, orgueilleux, fantasque, volontaire, paternel et romantique. A plusieurs reprises, Mesrine aura l’occasion de se ranger et de vivre une existence paisible mais sa quête de notoriété l’emmènera vers une mort prématurée. Ainsi, bien que l’on connaisse le tragique dénouement de cette histoire, le spectateur est tenu en haleine jusqu’à la dernière minute.

Certes, l’ensemble a été quelque peu romancé mais en consultant certaines archives sur le net, on constate que les frasques de Jacques Mesrine, Richet ont été retranscrites avec maestria. Je préfère nettement la seconde partie de ce biopic car l’action est beaucoup plus intense et on y découvre un Jacques Mesrine très cabotin. Je suis loin de faire l’apologie de la criminalité mais je dois avouer que j’adhère à ce genre de film qui a au moins le mérite de me réconcilier avec le cinéma made in France.

6 comments

  1. Jacques René Mesrine etait un héros qui certe,etait rascite,narquois,méchant et j’en passe des défauts mais la France ne connaitra aucune personne capable de l’égaler.Mesrine etait un homme hors du commun que,oui je le dis sans hesiter avait la gachette facile mais c’est sa qui a fait sa gloire et sa personnalité d’homme.

    Mesrine s’est fait abattre le 2 novembre 1979 porte de cligancourt comme un chien les homme qui l’ont tué ont dit qu’il s’agissait d’une légitime defense (et mes pieds c’est du poulet !?). Mesrine les avait mené en bateau et il n’arriver pas a le coincer alors ils ont employé la maniere facile,Robert Broussard peut être content l’ennemi public n°1 est dans “Une cellule dont on ne s’evade pas”.

    1. Ah il est beau ton héros, et encore heureux que tu penses que personne peux l’égaler, mais voilà certains bandits sont supérieur à lui et n’assassine personne gratuitement. tu parles d’une gloire d’assassiner des innocents. Tu accuses la police de l’avoir “abattu comme un chien” (j’en voie tes larmes couler pauvre petit) et tu ne penses même pas aux innocents que lui a réellement abattu.

      Pauvre C…….

  2. toute mes condoleance a mesrine c est 😥 triste et inumain d abatre un homme comme sa je ne suis pas d accord ok il a pas fait des chose pas bien mais a la fin il savais plus qoi faire c est aussi dommage pour ses enfants de ne pas avoire connue leur pere 😥 bien et a mesrine de ne pas conetre ses petits enfants 😥 😥 c est bien d avoire fait un autre film sur lui comme sa personne l oublie tout mes hommages a mesrine

  3. Qu’est-ce qu’il a le cinéma “made in France” ? Le “c’est des malades ! c’est des malades !” des Visiteurs ou le “blublublublublu” de la Soupe aux choux sont pas excellents ?

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