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Cinéma | I, Frankenstein. On a perdu Aaron Eckhart

Adam, la créature de Frankenstein, a survécu jusqu’à aujourd’hui, grâce à une anomalie génétique survenue lors de sa création. Son chemin l’a mené jusqu’à une métropole crépusculaire, où il va être obligé de s’engager dans un combat aux proportions épiques.

Théâtre, music-hall, bande-dessinée, jeu vidéo, télévision et cinéma. Depuis sa première parution en 1816, «Frankenstein» a fait l’objet de très nombreuses adaptations plus ou moins réussies.

Près de 200 ans plus tard, le héros culte de Mary Shelley subit une fois de plus les derniers outrages avec ce film d’action gothique et contemporain.

S’inspirant de son propre roman graphique, Stuart Beattie nous présente cette fois-ci la célèbre créature comme un être doté de super pouvoirs. Un beau gosse balafré devenu l’enjeu d’une guerre ancestrale sans merci entre deux clans d’immortels : les vampires et les gargouilles. Oui, vous avez bien lu…

Après l’avoir enduré durant 90 minutes, on constate amèrement qu’il n’y a pas grand-chose à sauver dans ce métrage qui aurait dû sortir directement en DVD. Entre les effets spéciaux franchement dégueulasses, les dialogues risibles et les rebondissements ultra-prévisibles, Aaron Eckhart fait de son mieux au cœur de ce nanar cosmique mais ce n’est guère suffisant.

2 comments

  1. J’ai maté la bande annonce et ça m’a suffit 🙂

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